La Violence basée sur le genre (VBG en sigle) ou violence sexiste désigne tout acte préjudiciable perpétré contre le gré d’une personne, et qui est basé sur des différences socialement prescrites entre hommes et femmes.
Heureusement, de nos jours, une bonne partie s’est lévée contre ces violences et le refrain de la chanson s’intitule: Luttons contre les violences basées sur le genre. Cependant, le message donné par des groupes communautaires souvent se focalise sur le fait de briser le silence et la prise en charge de ces cas surtout, parce que les tabous reignent dans maintes pays africains.
Après le brisement du silence, pouvons-nous nous contenter de ces resultats? Pas du tout! Vaut mieux prévenir que guérir, nous rêvons un monde sans aucune violence. Inspirons nous et puisons nos forces aux conséquences de ces VBG: Les survivants souffrent (1) Des problèmes psychologiques et émotionnelles: dépression, peur, angoisse, honte, maladies mentales, haine de soi-même,pensées suicidaires, se blamer. (2) Des problèmes physiques: blessures, maladies, pertes de sommeil, choc, Infections/VIH, pertes de grossesses, grossesses non désirées. (3) Des conséquences sociales: stigmatisation, isolement, divorce, rupture scolaire, abandon du travail, recrudescence des bâtards.
Au Burundi comme ailleurs, On observe une amélioration car on s’habitue à dénoncer les violences subies. Petit à petit, nous gagnons la bataille mais pas la guerre.
Par conséquent, Montrons dès maintenant l’objectif visé qui n’est autre qu’un monde sans violences sexuelles et basées sur le genre. (Sociétés de respect mutuel). Sensibilisons les communautés à aussi envier ce monde visé, montrons la part de participation de chacun, impliquons davantage l’homme (sexe masculin) dans cette lutte et C’est plus fort que plaidoyer pour la punition envers les acteurs de ces violences.